Inter Fréquence

Fondation sous l'égide de la Fondation de France

ESPACE DONATEURS

Actualités

UN PRINTEMPS MUSICAL !

UN PRINTEMPS MUSICAL !

Laura Prince, artiste soutenue par la fondation Inter Fréquence, était en résidence artistique au Centre Culturel de Rencontre International John Smith (Bénin) du 23 février 2023 au 5 mars 2023 afin d’étudier les chants et les danses traditionnels du peuple Guin qui serviront de matière aux compositions de son future album.

L’association Opus 220, en partenariat avec l’association Les Musiterriens et Paris Mômes, crée un rendez-vous familial autour des musiques du monde initulé « Musique en Tribu » et dont la prochaine édition aura lieu dimanche 2 avril au Pan Piper (Paris).

Le Brésil sera au programme avec :

  • Le conte Musical « Joao le poisson et Marina la Papillonne »
  • La « Roda da Familia » pour chanter en famille les chansons du Brésil
  • Atelier de percussion et d’éveil musical « Voyage au Brésil » pour les plus petits

Nous avons appris que Sarah Lenka, artiste accompagnée par l’association Paris Sonic, intégrait le programme « Génération SPEDIDAM ». Ce dispositif permettra à l’artiste de se produire dans des lieux emblématiques er ce devant un large public. Sarah Lenka sera en concert le 16 mai à Paris au Théâtre de l’Alliance Française dans le cadre du festival Jazz à Saint Germain des Prés. S’en suivra une belle tournée en France dans les festivals de jazz les plus prestigieux !

Toujours du côté de Paris Sonic, Laura Clauzel a sorti le single « Minuit » accompagné d’un superbe clip. Il préfigure l’album « Insondable » réalisé par Laurent Bardainne dont la sortie aura lieu le 19 mai prochain.

C’est également le 19 mai que commencera à Nantes la prochaine édition du festival Conte iz not Dead, initiative portée par l’association le Lapin Blanc. Programmation complète ici.

Et Pour finir… La fondation accompagne Julie OZ artiste chanteuse Belge francophone dans son développement de carrière en France.

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Une rentrée passionnante !

Une rentrée passionnante !

L’association Scènes Australes soutient les Francofolies de la Réunion du 29 septembre au 02 octobre 2022. De nombreuses actions pédagogiques et culturelles seront proposées durant le festival dont notamment des visites du site et des concerts en milieu scolaire. https://francofolies.re La 5e édition de Jammin’Juan se déroulera du 2 au 4 novembre au Palais des […]

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Un été haut en musiques !

Un été haut en musiques !

Une très belle saison pour les projets que nous soutenons ! Après deux années noires pour la culture pour cause de crise sanitaire, nous assistons bel et bien en 2022 à une forte reprise des évènements culturels. Du 30 mai au 2 juin, l’association Scènes Australes organise le Iomma, Marché des musiques de l’Océan Indien, […]

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Actions et projets

La fondation Inter Fréquence soutient des projets artistiques relevant de structures associatives. Nous souhaitons que chaque projet comporte une part importante de création, dans l’objectif soit de participer à l’émergence de nouveaux talents soit de soutenir des projets ambitieux valorisant le savoir-faire et l’exigence artistique français.
Dans le cadre d’un développement d’actions à l’international, la fondation Inter Fréquence garde un oeil attentif non seulement sur l’ensemble de la zone francophone, en particulier le Québec, la Belgique, le Luxembourg et l’Afrique, mais aussi sur toute initiative visant à ouvrir une réciprocité avec des artistes de tous les pays.

La Fondation

La fondation Inter Fréquence, sous l’égide de la Fondation de France, est née d’une volonté de s’impliquer dans le spectacle vivant et de soutenir l’initiative artistique & culturelle, les artistes et les échanges culturels internationaux (dont le pays destinataire ou émetteur est la France).

Créée par Béatrice et Alain Paré, la fondation Inter Fréquence a pour objet d’aider à la création, au développement, à la réalisation et à la communication de projets culturels et artistiques.
Elle intervient en terme de :

  • support de projets associatifs (aide à la création en particulier)
  • attention portée à l’émergence de talents « personnes physiques » (attribution de prix/bourses).

Sa création administrative a été actée par la Fondation de France le 12 juin 2013.

Une éthique
Notre raison d’être est de permettre à des projets artistiques d’exister. Notre objectif est d’agir, de faire que ces projets naissent, se développent et touchent le plus grand nombre. Nous pourrions être tentés par la création d’une tribune sur l’insuffisance de moyens attribués à la culture et à l’émergence artistique en particulier, sur le risque d’une société sans art alors que la culture est le premier des liens sociaux… mais ce n’est pas notre combat et d’autres acteurs le font déjà avec engagement et conviction.
Entre manque de moyens et prise de risque artistique, notre volonté est de nous positionner comme une passerelle, un atout, un déclic.
Depuis juin 2013, nous soutenons des projets artistiques par le biais d’associations toujours plus nombreuses. Nous voulons aider le plus d’artistes possible, dans des lieux toujours plus diversifiés, pour un nombre croissant de spectateurs.

Notre approche
La fondation continue d’accompagner les projets qu’elle a soutenus, désireuse d’inscrire son action dans le moyen, voire le long terme : communication autour des musiques actuelles francophones, organisation de festival et scène(s) musicale(s), développement de la réciprocité entre artistes français et communauté francophone...
Nous avons élargi notre champ d’action en renforçant notre présence sur différents festivals nationaux, en intensifiant notre soutien en région et à de nouvelles associations ayant notamment pour objet :

  • le soutien aux organisateurs de spectacle
  • le développement de spectacles jeune public
  • la mise en lumière d’auteurs
  • des projets visant à développer les échanges internationaux
  • l’accès à la culture par l’image et la captation

Vous soutenez de nombreux concerts, en festivals ou en salles, partout en France. Quel a été votre élément déclencheur ?
Nous avons commencé par faire un état des lieux. Le soutien financier est indispensable à l’économie culturelle, ça l’a toujours été. La capacité de financement public et des sociétés civiles a atteint ses limites et devrait, hélas, régresser. Cette baisse est corrélative à celle des recettes. Dès lors, c’est le financement privé qui doit se développer, c’est à notre avis l’avenir. Quand on crée une fondation, on s’engage financièrement à titre personnel. Au fur et à mesure, au travers des projets que l’on nous propose, nous avons su développer un réseau de donateurs.

La rencontre entre ce monde du privé et les artistes est-elle facile ?
Les porteurs de projets artistiques réfléchissent à leur problématique et tentent de trouver des solutions entre acteurs du métier. Ils ont des difficultés à exprimer leur besoin autrement que dans le cercle professionnel. Or, un mécène ne perçoit pas un projet comme une institution, il a besoin de vivre le projet pour participer. Il en résulte que les donateurs privés ont parfois du mal à se sentir concernés. Le mécénat privé a une très forte marge de progression dans l’action culturelle, nous en sommes convaincus.

Comment faire alors ?
Il faut apprendre à présenter son projet sous un autre angle. La générosité privée n’a pas du tout les mêmes codes que le financement culturel classique.

Quelle est votre plus grande satisfaction en tant que mécène ?
Nous n’avons pas de « plus grande » satisfaction en particulier. Nous en avons trois. En regardant en arrière, plusieurs dizaines de projets ont pu voir le jour au travers de nos actions, plusieurs porteurs de projet ont trouvé « leurs » donateurs et travaillent avec plus de légèreté. En regardant aujourd’hui, une tendance s’inverse : nos volumes de dons sont en hausse alors que les subventions sont en baisse, ce qui nous donne le sentiment d’être une alternative utile. En regardant devant, nous véhiculons finalement un message d’espoir en proposant des solutions novatrices. L’important, c’est l’initiative.

La francophonie, ce sont tout d’abord des femmes et des hommes qui partagent une langue commune, le français, une langue mondiale non pas la plus parlée mais la plus répandue. Le dernier rapport en date de l’Observatoire de la langue française, publié en 2018, estime leur nombre à 300 millions de locuteurs, répartis sur les cinq continents.
Le français est la 5e langue la plus parlée après le chinois, l’anglais, l’espagnol et l’arabe ; la 4e langue sur internet ; la 2e langue étrangère la plus apprise après l’anglais.
On parle de Francophonie avec un "F" majuscule pour figurer le dispositif institutionnel voué à promouvoir le français et à mettre en œuvre une coopération politique, éducative, économique et culturelle au sein des 88 Etats et gouvernements de l'Organisation internationale de la Francophonie (OIF). Ce dispositif est fixé par la Charte de la Francophonie (1997). Sa plus haute instance est le Sommet de la Francophonie ; sa clé de voûte, la Secrétaire générale de la Francophonie.
Notre fondation est plus qu'attentive au rayonnement des artistes français et aux possibles échanges avec les territoires francophones.


Sous l’égide de la Fondation de France

ff-dons

En gage de toute transparence, la fondation Inter Fréquence a souhaité se placer sous l’égide de la Fondation de France par une convention actée le 12 juin 2013. Tous les fonds sont directement gérés par la Fondation de France qui, dès lors que l’on signe une fiche de décision, verse la subvention accordée au bénéficiaire que l’on aura désigné suite à la remise d’un dossier complet.

Transparence et rigueur de gestion : la Fondation de France adhère au Comité de la Charte et du Don en confiance. Elle s’engage à respecter l’ensemble des règles déontologiques de gestion et de communication établies par cette organisation indépendante, pour une traçabilité optimale des dons et la délivrance de reçus fiscaux.

pour en savoir plus : → Fondation de France

Agir ensemble

En nous engageant dans l’animation d’une fondation culturelle, nous relevons plusieurs défis :

  • trouver des moyens pour que des projets artistiques existent
  • défendre l’idée qu’un spectacle est à la fois un lieu de rencontre et d’échange, mais aussi un créateur de lien social
  • convaincre qu’il y a toujours une solution, même en l’absence de modèle économique (grande précarité de l’émergence artistique)
  • créer une chaîne de solidarité, nos donateurs n’étant pas issus du monde du spectacle.

Aussi nous nous engageons à quantifier nos actions et à 
communiquer avec nos donateurs. Nous tenons à leur rendre compte sur ce que nous faisons, ce que nous allons faire, ce que nous ne ferons pas, faute de moyens et/ou faute de temps, ce que nous aurons bien fait, ce que nous aurons moins réussi.

Nous voulons faire partager nos valeurs, en espérant qu’elles deviennent celles de nos donateurs. Tout simplement, nous voulons donner du sens à leur confiance.

Notre bilan s’étoffe, au fur et à mesure de nos actions, en termes de :

  • projets que nous avons soutenus
  • nombre de pays représentés
  • taux de réciprocité avec la France dans les échanges
  • nombre de spectacles soutenus
  • nombre de spectateurs touchés

Nos deux modèles sont la Fondation Senna (Brésil) et la Fondation Abbé Pierre qui, toutes deux, présentent à nos yeux une excellence des résultats, une distribution des dons optimisée, en un mot, une méthode.

Contribuer à notre projet devient l’occasion de donner un véritable sens à vos impôts, en alliant générosité et forte défiscalisation. C’est pourquoi nous souhaitons vous associer à notre ambition.
Si vous êtes assujetti(e) à l’Impôt sur la Fortune Immobilière (IFI), la nouvelle loi de Finances vous permet de bénéficier d’une réduction d’impôt de 75 % de votre don, dans la limite de 66 667 € chaque année, soit 50 000 € de déduction.
Si vous êtes redevable de l’Impôt sur le Revenu, la réduction fiscale est de 66 % de votre don (dans la limite de 20 % de votre revenu net imposable).
Si vous êtes une entreprise, vous pouvez contribuer et bénéficier d’une réduction d’impôt de 60 % du montant de votre don, dans la limite de 0,5 % de votre CAHT ou de 20 000 € quel que soit votre CAHT (art. 238bis du CGI).

Chaque don reçu est libellé Fondation de France / Fondation Inter Fréquence et transmis à la Fondation de France dès réception. Comme tout organisme Reconnu d’Utilité Publique, celle-ci s’engage à envoyer à chaque donateur un reçu fiscal en bonne et due forme. Chaque donateur ayant communiqué une adresse mail reçoit également un lien lui permettant de télécharger son reçu fiscal et d'accéder à un espace donateur dédié.

Contact

Attention, aucun dossier ne pourra être traité par l'intermédiaire de ce formulaire, réservé aux personnes désireuses de soutenir notre action.

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